Grosse galère aussi pour remettre en service toutes les fonctions électriques: chez l'ancien propriétaire, les rongeurs ont emporté en souvenirs des morceaux de faisceau électrique de la cloison moteur et du tableau de bord... Comme il n'y a que des fils gris ou vert, je vous laisse deviner ma jouissance extrême et les jours passés pour retrouver ce qui manquait avec une accessibilité inexistante, le refaire et tout reconnecter correctement... M'enfin, ça y est: tout fonctionne ! C'est tout beau, et la bête a vu la couleur du ciel aujourd'hui:
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Le nouveau bac à batterie n'est pas encore soudé en place. Cela se fera au poste électrique chez le carrossier.
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Sur l'image ci-dessus, on mesure bien la parenté de conception avec les Panhard: l'ensemble moteur-boite compact en porte-à-faux avant et encastré dans un berceau hyper rigide, comportant tous les organes du train avant. La meilleure recette connue depuis la Dyna X pour concilier motricité/adhérence, centre de gravité le plus bas possible, moindre sensibilité à la force centrifuge en virage, moindre empiètement dans l'habitacle, etc...
Comme sur les Alfasud et les Lancia des sixties ou les Subaru qui d'ailleurs n'ont rien inventé de ce côté-là...
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Comme vous le voyez : Il y a de l'essence, de l'électricité, la notice et les papiers dans le vide-poches: En route pour le CT ! :-)

Le jerrycan, c'est pour ne pas faire tourner la mécanique neuve, ni encrasser le carbu refait et la pompe avec la vieille essence encore contenue dans le réservoir qui sera tombé, vidangé et nettoyé demain avant la pose d'une nouvelle ligne d'échappement... Un peu bruyant la sortie directe au "Y" !